Saloperie de rhume de printemps. Fièvre, nez qui coule, éternuement, gorge qui pique...
Je n'avais qu'une envie dans le métro ce soir : me mettre au chaud, dans mon lit devant Super Nounou de la 6. Avec un peu de bol, elle m'aurait préparé des pates au beurre et du jambon haché, repas officiel des jours de maladie. Un bon trip bien régressif, y a rien de mieux contre le rhume.
Et là, désastre. Non seulement, il n'y a pas la nounou à la télé (elle est remplacée par la secrétaire d'Hitler... le même air sévère, mais ça ne me fait pas le même effet) et en plus, il n'y a pas de jambon dans mon frigo !
Obligée de me rabattre sur un steack trop cuit et des pâtes à l'eau. C'était dégueulasse, je n'avais pas faim, et je les ai fini quand même.
Je crois que je viens d'expérimenter la notion de rassasiement psychologique.
J'attendais un certain réconfort que je n'ai pas trouvé dans mon assiette. J'ai mangé au delà de ma faim dans l'espoir de le trouver dans la bouchée suivante, et je suis sortie de table frustrée.
Si je m'écoutais, je viderais tout le placard à la recherche d'un aliment qui me fasse vraiment envie.
1 commentaire:
Juste un petit mot d'encouragement!
Y'a un petit moment qu'on c'est pas parlé, mais je viens faire un tour de tps en tps sur ton blog!
Moi aussi je suis passée ces derniers temps par des petits moments difficiles mais tu verra ca reviendra!
bises
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