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28.12.07

A vendre


Pffffiou... Retour impromptu sur ce blog abandonné, odeur de naphtaline et de poussière...
Je ne crois pas que je vais prendre le temps d'enlever les housses sur les meubles, ni déranger les araignées dans leur toile, pour la bonne raison que je démenage bientôt.
Les perturbations se tassent, les causes sont toujours là mais des pistes se dessinent et des choses se mettent en place. Au premier rang desquelles la mise en vente de notre maison. Besoin de changement impérieux, j'ai mué, je change d'habitat puisque je ne peux changer de peau.

Aucun regret dans cette décision, malgré les années d'attente avant de pouvoir l'acheter, les heures passées dans les travaux à la personnaliser. Je réalise que je suis bien moins attachée au matériel, au patrimoine, qu'auparavant. Quand la maison n'est plus un nid, elle n'est qu'un tas de pierres sans intérêt.
Plus confiante en moi, en la vie, j'ai moins besoin de ces repères et de cette assurance. En commençant à trier, je me rends compte que j'ai finalement peu de choses auxquelles je tiens réellement, je me passerai sans vrai problème de tout ce qu'il y a dans la maison, rien n'est irremplaçable, à l'exception de mon calavera et de mon mixer à potions magiques.

Ce n'est manifestement pas le cas de tout le monde. Parmi les gens qui visitent la maison, on voit parfaitement les degrés d'attachement aux souvenirs. Les plus agés cherchent une maison qui puisse contenir parfaitement leurs (gros) meubles, poupées de collection et photos de famille, sans jamais envisager qu'il est plus simple de changer de buffet.
Les plus jeunes projettent tout de suite les aménagements qu'ils pourraient faire, ils sont moins chargés et moins effrayés par les changements. Moi qui commençait à me désencombrer, je compte bien poursuivre la démarche et voyager léger pour la suite.

30.10.07

A nos chers disparus




Trouvé chez Mirza qui l'a trouvé chez quelqu'un qui la trouvé chez quelqu'un. Ce chat là agit en tout point comme ma chatte Beamish, portée disparue depuis le 18/03.

En ces temps de Toussaint, d'Halloween, de Dia de los muertos, un hommage posthume à cette pov bête s'impose.

(Notez aussi la performance du doubleur qui reproduit fidèlement le mmmmmhrou du chat qui a un truc à réclamer)

14.10.07

En vrac


Ami lecteur, sous la pression de ton représentant syndical Ada, je consens à t'offrir un post.
Ne te réjouis pas trop vite, si je n'écris pas en ce moment, c'est que je n'ai rien à dire.
Ou plutôt, que je préfère ne rien dire. Mais sache que ma vie est en pleine zone de turbulences et que je garde ma ceinture bien attachée. Les dites turbulences ne concernant pas seulement ma petite personne, j'ai décidé en conférence de rédaction avec moi-même que ma ligne éditoriale serait celle du silence.
De toutes façons, ce qui importe ici, c'est la façon dont je les vis plutôt que les turbulences elles-même.


Et bien, je suis contente de t'apprendre, ami lecteur, que je ne m'en sors pas si mal. Le démon du frigo que je croyais terrassé n'est qu'endormi. Tel une hydre, ses têtes repoussent mais je les tranche patiemment, une à une. Le Dr G me disait d'ailleurs que l'important n'était pas de ne plus avoir de crise, mais de savoir que je pouvais les vaincre quand elles se présentaient. Ca c'est fait.
Je suis désormais dans la pulsion, plus dans la compulsion.
Je me découvre complexe, et non plus complexée (copyright Odile).
La vie est belle, finalement.

28.6.07

Dieu existe.

Urgences et Desperate housewives nouvelles saisons sont à l'antenne cette semaine.


27.6.07

7 vérités inavouables

Mirza me passe le jeu des 7 vérités. Comme je suis bonne fille, je vous en livre dont vous pourrez vous gausser.

1/ Je suis née avec des cheveux blancs.
Une fine mèche au milieu de ma tignasse brune, à peu près au milieu du côté droit de mon crâne. Quand une âme perfide se risque à me faire remarquer « ho mais t’as un cheveu blanc, là » je réponds « oui mais je suis née avec », pour bien signifier à mon interlocuteur que je présente là une particularité génétique étonnante et non pas un signe de vieillesse. Même si on me désigne l’arrière de ma tête.


2/ J’ai eu des passions obsessionnelles pour des stars inavouables.
A 9 ans, je me suis prise de passion pour Sophie Marceau après avoir visionné 30 fois la Boum. Je pense être la seule personne au monde à avoir possédé son 33 tour, qui s’intitulait pémonitoirement Bérézina.
A 11 ans, ma passion s’est portée sur le boys band norvégien A-ha. Je fus même membre émérite de leur fan-club français. Jusqu’à ce que je me laisse emporter par la Bruelmania. J’ai reçu encore récemment chez mes parents une lettre de fan qui voulait acheter à prix d’or mes archives de la période 1989- 1991.
Juste après, je me suis mise à Bérurier Noir. Incompatible avec la fan-attitude. Qu’ils en soient remerciés.


3/ J’ai passé 3 ans avec des bouchons de Fischer sur mes Docs.
Par contre Bérurier
Noir était parfaitement compatible avec les accoutrements punk à chiens dont je ne me suis pas privée. J’avais donc bricolé des bouchons de Fischer pour fermer mes Doc à la place des lacets. J’ai failli rater tous mes embarquements d’avion de l‘époque, les vigiles refusant de croire que c’étaient mes chaussures qui faisaient sonner le portique.

4/ Je n’ai eu que deux partenaires sexuels.
Ca c’est carrément la honte à l’époque de Catherine M. Mais bon, asi va la vida. Pendant l’adolescence, il se trouve que les garçons couchent avec les filles pour pouvoir en informer leurs camarades, et que se taper une grosse n‘est pas de nature à vous propulser dans le top ten du lycée.
Les occasions m’ont donc manquées, jusqu’à ce que je rencontre mon Loulou, voila 12 ans.
J’ai bien pensé à acquérir un nouveau partenaire, mais celui ci étant en parfait état de marche, c’eut été céder au consumérisme.
Pis toutes façons j’ai des sex toys.

5/ J’ai une peau de poulet.
Mon corps a plus d’un défaut dans son sac. Outre la cellulite et les vergetures, je suis affublée d’une kératose pilaire. C’est pas contagieux, ça fait pas mal, mais c’est pas joli-joli. J’ai de minuscules boutons rouges sur le corps, ce qui fait que nue, je ressemble à un mignon poulet plumé (non, pas une dinde). J’envisage sérieusement l’épilation au laser, puisque ladite affection se développe là où pousse le moindre duvet.

6/ Je confonds toujours la droite et la gauche.
Doit y avoir un truc dans mon cerveau qui n’est pas connecté, parce que j’ai du mal en général avec tout ce qui concerne l’espace. Moman la psychologue pour enfant dit que j’ai un problème psycho-moteur. En clair, si je suis concentrée ou préoccupée, je perds mes repères. Si je conduis dans une ville inconnue, que je me concentre pour trouver mon chemin, et qu’on me demande d’aller à droite, je suis obligée de regarder mes mains discrètement pour prendre la bonne direction.


7 / Je ne connais pas 7 autres blogueurs à qui passer le questionnaire .
Je tiens ce blog depuis 2 ans, mais il est si confidentiel que je ne reçois de visites que depuis peu. Je ne me suis donc pas créer de réseau de centaines d’amis à travers le monde. Et certains de mes amis virtuels n’ont même pas de blog.
Mais je suis pleine de ressources, et j’arriverai quand même à faire passer le jeu. Voyez plutôt :
Je passe à :
- Odile .
- Ada, qui y a déjà répondu dans une autre vie si je me souviens bien. Elle n’hésitera pas à inventer si besoin.
- Lipidineuse.
- Christine. Avec ses personnalités multiples, elle vaut au moins 4 blogueurs à elle toute seule.
(Merci de la publicité que tu m'as fait chez toi, j'ai pété mes stats hier !)


12.6.07

Cuisine aves Jackass.

Mon amie Ada a émigré au Canada en avril. Entre deux rédactions de CV à la con, elle fait découvrir à son public français les bizarreries locales. La semaine dernière, elle m'a lancé un défi que je ne pouvais pas ne pas relever : goûter une spécialité culinaire qui pourrait figurer dans un épisode de Jackass. (Lecteur curieux, je suis certaine que tu te demandes comment il est possible de faire la promo de Jackass et de préoccupations écologiques dans un même blog, voire dans une même personne. Je me pose parfois moi-même la question. D'abord, tenter d'être écologiquement responsable ne signifie pas être dénué de tout vice humain, notamment celui qui consiste à se marrer en voyant quelqu'un tomber. Enfin, si on cherche bien, on peut voir chez Knoxville et ses camarades l'aboutissement trash et débile ultime de la société de consommation, où de jeunes garçons bien portants ayant tout ce qu'ils peuvent souhaiter sont réduits à mener leur quête de sens dans le fond des chiottes. Jackass est très, très subversif, finalement.)

Mais voici donc la recette du Beer Butt Chicken selon Ada, autrement dit le poulet à la canette dans l'cul.
UN.Videz 1/3 de bière dans votre gosier. Enfoncez les deux autres tiers et leur contenant dans l'intimité d'un poulet. N'ayez pas peur de forcer et d'écarter ses tites papattes pour que ça se passe mieux. Inutile en revanche de faciliter la manipulation avec du gel à base d'huile ou d'eau, car d'une part la bête est morte (oui hein, déconnez pas, tuez la avant sinon c'est moralement répréhensible et il ne faut pas le faire, non c'est mal !) et d'autre part à moins que ce ne soit de l'huile d'olive ça laisserait un goût.
N'étant pas totalement inconsciente, j'ai cherché avant de m'exécuter si des cas d'empoisonnement par dégagement de toxiques de ferraille et de peinture étaient répertoriés. Il semble que non. Et tous les amateurs de la recette sont unanimes : ça craint rien ! Moui... J'ai finalement décidé que si risque il y avait, ça me ferait une mort rigolote, ce qui n'est pas donné à tout le monde. J'ai donc consciencieusement avalé un tiers de canette d'Heineken, avant de percer quelques trous pour faciliter l'écoulement de la bibine. Puis je l'ai introduite comme indiqué. Huhuhu. (Voui, je sais, fallait une bière américaine, mais Intermarché était en rupture de Bud. So...)

DEUX. Si vous voulez la version américaine, tartinez le poulet de sucre (mettre du sucre sur la viande est d'ailleurs une grande constante de la bouffe locale et la base de 9 recettes sur 10), d'épices mal choisies et mal accordées, de condiments et légumes déshydratés (jamais de légumes frais malheureux !).Si vous êtes plus conservateurs et préférez une version européenne, bah c'est pas compliqué, on tartine de moutarde, on fourre à l'ail si il y a encore de la place, beurre, fleur de sel, poivre, et petites pommes de terre nouvelles.
Le mélange de sucre et d'épices mal choisies s'appelle sel à frotter. En voici la composition :
45g de cassonnade
30g de paprika
3cs de poivre
3 cs de gros sel
1 cs de sel de hickory (sel fumé local, dont je me suis passé)
2cc de poudre d'ail (remplacé par de l'ail frais haché)
2cc de poudre d'oignon (idem)
1cc de graines de céleri (pas mise)
1cc de piment de cayenne

J'ai badigeonné ma bestiole de ce mélange, vidé le surplus à l'intérieur, puis je l'ai installé sur un lit de courgettes, oignons, pommes de terre. Notez tout de suite que c'est beaucoup, beaucoup trop salé.
Poulet sur sa canette.



TROIS. Calez moi tout ça en trépied sur votre barbecue de compétition (notez qu'un four fera très bien l'affaire) et laissez griller la pauvre bête. Evitez de trop la regarder du coin de l'oeil, elle doit déjà se sentir assez mal comme ça.
Après réflexion, j'ai choisi la cuisson au four. Je me voyais mal faire un feu de bois pendant deux heures, compte tenu de la quantité de bois et la surveillance nécessaire. J'avais juste oublié que les canadiens font des barbecues au gaz, les petits joueurs. J'ai donc enfourné le poulet, assis sur sa canette et les légumes 1h30 au four, th 7.

QUATRE. Avec la chaleur, la bière remonte de la canette comme elle le ferait de l'oesophage de n'importe quel Anglais ou Belge en fin de soirée. Tapissant ainsi le volatile et arrosant la viande comme on arrose un tapis persan.
Effectivement, ce mode de cuisson est vachement mieux que le poulet couché sur ses ti légumes. A l'horizontale, le poulet baigne dans son jus, ce qui lui ramollit le ventre tandis que son dos crame et vous oblige à l'arroser régulièrement, en exposant votre visage délicat aux 210° du four et aux fumées qui s'en dégagent. Debout, le jus de poulet arrose les légumes qui cuisent nickel, et le poulet est rôti juste bien. Comme avec une rotissoire, certes, mais quand on n'en a pas, la canette fait pas mal. En revanche, je n'ai pas trouvé le gout de la bière.

CINQ. Après cuisson retirez la canette en douceur et remerciez votre poulet pour sa coopération. Huhu.

Poulet parfaitement rôti et définitivement humilié.

SIX. Etonnament le plaisir vient après l'étape CINQ.
Et ben, oui, c'est vachement bon. Mais les lauriers sont plus à rendre aux épices qu'à la bière. On n'en sent pas le goût. Vient-ce de l'usage d'une bière trop soft ? J'essayerai la prochaine fois avec une bière plus couillue, mais j'ai peur que ça donne alors trop d'amertume.
Par pitié, si vous essayez, diminuez de moitié au moins la quantité de sel, et surtout ne salez pas les légumes. Le jus du poulet récupère celui du mélange d'épices avant de venir s'ajouter à celui du plat.
Pour la version barbecue, je retiens l'idée du mélange d'épices à badigeonner (j'imagine bien une version indienne, orientale, mexicaine...) sur des cuisses, qui ont un temps de cuisson raisonnable.


Et voila un dimanche réussi : une matinée à ricaner en préparant le poulet, un repas agréable et un après-midi à boire des bières pour faire passer le sel, devant la finale de Roland Garros. Merci Ada !

18.5.07

Summertimes

Heureusement que Juppé vient de prendre la tête du grand ministère de l'environnement. Le meilleur d'entre nous ne pourra pas faire moins que rétablir l'ordre dans le climat. Non c'est vrai, c'est vraiment pénible d'avoir raté l'été sous prétexte que cette année il a eu lieu en avril. Du coup, les pont du mois de mai se déroulent en automne.

Pour patienter avant l'été prochain (fin août donc, si conformément aux prévisions l'hiver est en juin et le printemps en juillet), je ne résiste pas à ressortir les clichés (car le pastis sous les canisses, c'est un cliché) des vacances de Pâques de l'été dernier.





Et tant que je suis dans la photographie domestique, visez un peu les suivantes et mesurez le travail accompli.




23.3.07

Happy borning

Ma copine Nath est épatante.
Elle a accouché d'une petite Jiliane le 21/03 à 1h55, et le mms-faire-part-photo était sur mon téléphone à 4h49 !
Non, vraiment, je suis épatée par cette maman-multimédia, qui tapait ses messages entre deux contractions et filmait elle-même son accouchement au portable. Je ne suis pas loin de croire que ce bébé avait un cordon usb à la place du cordon ombilical.

Quoi qu'il en soit, bienvenue et longue vie à Jiliane la belle.

22.11.06

HTML pour les nuls

... à moins que ce ne soit du CSS ou un autre langage martien.

Chers amis lecteurs, il ne vous a pas échappé que ce blog a migré.
Oui, désormais, de nouvelles fonctionnalités s'offrent à moi, dont l'indispensable catégoriseur. Comment ais-je pu m'en passer si longtemps ? Classer ses posts en catégories bien calibrées, un par un, voila un vrai plaisir d'obsessionnelle. Presque aussi jouissif que de trouver l'écart de 08 centimes d'euros dans ses comptes bancaires, encore meilleur que le rangement des draps par couleur.
Ajoutez à ça la joie d'avoir attribuer à ces catégories des thèmes fantaisistes, et vous avez une soirée parfaite. Je ris toute seule en imaginant la déception des psycho qui vont s'égarer dans mes scéances chez le Dr G en cherchant sur google les pages françaises consacrées au psychobilly. Je sais, ça n'amuse que moi.
Vous retrouverez donc :
  • tous les épisodes de mon histoire avec la bouffe, de la réeducation alimentaire à ma thérapie sous la rubrique Psychobilly;
  • tous les épisodes ménagers et midinettes sous la rubrique Desperate housewife;
  • mes aventures, sous la rubrique Rock-A-ventures, en hommage à la Rockabilette que je suis;
  • mes rares posts culturels (peut-on parler de culture quand on évoque Brice de Nice, même pour vomir dessus ?) sous la rubrique Atomic review, parce que j'aime les titres rétro
  • mes encores plus rares posts "concernés" sous la rubrique Sans opinion, parce que ne se prononce pas, c'était trop long;
  • une nouvelle rubrique, XXL, pour évoquer le plus positivement possible ma vie en XXL;
  • et enfin, le reste sous la rubrique Vrac-O-rama.

L'inconvénient de cette migration, c'est que mon magnifique papier peint léopard gris-rose a disparu, et avec lui mon étoile fétiche. J'ai donc décidé de profiter de l'occasion pour concevoir un haut de page rockabilly.
Voici les deux versions de mon dur labeur :





Reste que je n'arrive pas à les mettre en ligne. A mon grand désespoir, ce blog restera rose, et seulement rose jusqu'à ce que j'y parvienne.

21.9.06

Tiens, j'ai retrouvé une vieille K7...


Si c'est pas collector, ça ...

11.12.05

C'est ballot.

La dame qui voulait se blanchir les dents, ou comment la coquetterie excessive avec déficience neuronale peut être dangereuse pour la santé.

La dame qui voulait se blanchir les dents trouvait que les produits vendus en supermarché était bien trop cher. Et en dehors des agents blanchissants, ils contenaient des substances qui ne lui disaient rien de bon.

Quel bonheur de trouver une recette maison avec des produits simples !
Vinaigre de vin blanc, idéal pour détartrer. Le reste des ingrédients est tenu secret.

Une fois le mélange réalisé, la dame qui voulait se blanchir les dents est passé à l'application. Avec d'infinies précautions. Ce mélange étant hautement corrosif, elle a pris la peine d'enfiler des gants Mappa.

C'est pour ça qu'elle a du mal à comprendre pourquoi elle a des trous dans les gencives, les cordes vocales et l'oesophage brulés.

1.10.05

Back on the web !


Aprés plus d'un mois d'absence, me revoilà connectée !
En me déconnectant la dernière fois, je me demandais comment j'occuperai ces jours sans web. J'ai même crée l'expression "long comme un jour sans web".

Et puis non, rien. Même pas mal. Pas de crise de manque, sevrage les doigts dans le nez.
Bien sûr, j'ai été plus qu'occupée. Déménagement, emmenagement, travaux, reprise du boulot.
Mais je me croyais plus accro que ça à ma vie virtuelle.
Les sites où j'avais mes habitudes se sont vidés de leur substance, l'urgence de les consulter a disparu avec eux. Jusqu'à ce que je trouve d'autres sujets d'intérêt, ne serait ce que redonner vie à ce blog !

Non pas qu'il me soit arrivé des choses si extraordaires que le monde y perdrait à les ignorer... Le sujet est toujours moi, moi et moi. Même pas du narcissisme, je suis bien trop lucide pour ça. Juste un minimum d'intérêt thérapeutique pour moi seule : écrire ici m'oblige à faire le point sur mes sentiments, sur moi. Et Dieu sait que le quotidien est un incroyable broyeur de conscience de soi. La tête dans le guidon, je reste avec un sentiment d'insatisfaction refoulée, sur laquelle je ne sais pas mettre de nom, et qui pourtant me submerge.
Pour lutter encore faut-il connaître son ennemi. C'est ici et dans mes cahiers que je le découvre régulièrement.

14.6.05

Message perso



TOKE !!!
Il existe.
Et il est bien coiffé.

4.3.05



Interruption des programmes pour quelques jours...